Ce pays est bien sûr la mal nommée "île aux fleurs" (car elle croule sous le béton et le bitume par la faute de maires irresponsables) à savoir la Martinique.
En effet, dans 90% des affaires dites sensibles, expression pudique désignant les scandales, soit l'affaire tarde tellement à être jugée que les présumés responsables finissent soit par décéder tranquillement dans leur lit (scandales du CREDIT MARTINIQUAIS, d'Air Martinique), soit elle n'est jamais jugée (scandales de la SODEM, du CEREGMIA, de la COLAS) soit un non-lieu est froidement prononcé (scandale du chlordécone et probablement du crash de la West-Caribbean) soit on n'en entend plus du tout parler (scandales de X-PAY, de CARENANTILLES, du SMTVD).
Alors bien sûr, on fait semblant ! On met en examen, on convoque devant les juges d'instruction, on fait des conférences de presse par procureur de la République interposés, on délocalise au Tribunal de Paris aussi sans qu'aucun motif sérieux ne l'exige et puis terminé ! Rideau ! NON-LIEU ! Ces jours-ci, ce sont les parents des victimes du crash aérien qui a fait perdre la vie à 152 Martiniquais qui risquent de se voir déboutés. La routine judiciaire dans l'île aux fleurs, quoi !
Et les beaux esprits de s'étonner et s'indigner qu'une fraction de notre jeunesse, exaspérée par tant de laxisme, se révolte, déboulonne des statues, débaptise des noms de rues, bloque l'entrée de supermarchés etc...
Pli ta, pli tris...
...cette précision, cela n'a rien à voir avec le fond de l'article. Me semble-t-il...
Lire la suite"National" au sens "national Mquais". Ça va sans dire, mais ça va mieux en le disant...
Lire la suite...mè "dannsòl".
Lire la suiteSi on vous comprend bien, MoiGhislaine, le charbon de Lorraine devrait, pour reprendre votre expr Lire la suite
Je crains que vous n'ayez mal compris cet article. A moins que ce ne soit moi qui me trompe. Lire la suite