Le Théâtre national algérien (TNA), Mahieddine-Bachtarzi a accueilli, samedi, l’avant-première de la pièce théâtrale La véridique histoire de Hourya, produite par le Théâtre régional de Djelfa -Ahmed-Ben Bouzid- et mise en scène par Ahmed Khoudi, à partir d’un texte écrit par l’écrivain martiniquais, ami de la Révolution algérienne.
Daniel Boukman. Présentée dans le cadre des festivités marquant le soixantenaire de l’indépendance, la pièce théâtrale retrace les différentes étapes de la résistance de la femme algérienne ainsi que sa contribution active, aux côtés de l’homme, à la lutte contre la colonisation française, à travers le personnage de Hourya, comme symbole de lutte contre toutes formes d’oppression et d’aliénation, et de rejet des atrocités et sévices infligés aux Algériens. Pendant plus d’une heure, les férus de théâtre présents dans la salle Mustapha-Kateb ont été éblouis par les scènes poétiques et chorégraphiques qui mettaient en lumière la contribution des femmes algériennes aux principales haltes de notre histoire révolutionnaire, à l’instar des résistances populaires, des massacres du 8 mai 1945 et du déclenchement de la Guerre de libération nationale du
1er Novembre 1954. Le metteur en scène a su insuffler un brin de poésie et de lyrisme à cette œuvre pour raconter l’épopée de Hourya, une femme algérienne fière et pétrie de valeurs. La scénographie a été confiée au talentueux Nadjem Cherad, tandis que la chorégraphie a été signée par Riad Beroual et la composition musicale est l’œuvre de Abdelmadjid Fritis. Les rôles ont été interprétés par Nacera Benyoucef, Leïla Benattia, Chahd Rym Zouailia, Kheira Hmida, Yazid Sahraoui, Ahmed Hassan, Mohamed Amroune, Ayman Fitas, Djelloul Saadi, Messaoud Regab, Marouane Kihel et Chentoufa Brahim Khalil. Le metteur en scène Ahmed Khoudi a précisé, à cette occasion, que la pièce se veut «une reconnaissance au rôle de la femme algérienne dans la lutte contre la colonisation», soulignant avoir fait appel pour l’incarner aux techniques de plusieurs écoles et courants, dont l’épopée et la tragédie, en l’agrémentant de chant et de musique. La véridique histoire de Hourya sera présentée au public du Théâtre régional de Djelfa les 19 et 20 mars. De son côté, le directeur du Théâtre régional de Djelfa, Nacer Khellaf, a indiqué que la pièce est «dédiée à la mémoire du grand révolutionnaire Frantz Fanon», ajoutant que «c’est aussi un hommage appuyé à l’ami de la Révolution, Daniel Boukman, qui a écrit ce texte pour immortaliser le rôle de la femme algérienne».
M. Toumi
Malgré la rage qui me ronge de voir mon île dévastée par des étrangers venus d'ailleurs qui sont Lire la suite
...cette précision, cela n'a rien à voir avec le fond de l'article. Me semble-t-il...
Lire la suite"National" au sens "national Mquais". Ça va sans dire, mais ça va mieux en le disant...
Lire la suite...mè "dannsòl".
Lire la suiteSi on vous comprend bien, MoiGhislaine, le charbon de Lorraine devrait, pour reprendre votre expr Lire la suite