Deux lycéens brisent un mythe mathématique vieux de 2 000 ans…

Deux jeunes de Louisiane, Ne’Kiya Jackson et Calcea Johnson, ont récemment fait sensation dans le milieu académique. Elles ont pris tout le monde de court en remettant en cause un théorème mathématique qui a plus de 2 000 ans ! Leur découverte audacieuse a épaté les matheux du monde entier. Pourquoi ? Parce qu’elles ont réussi à démontrer le célèbre théorème de Pythagore avec uniquement des concepts trigonométriques, sans toucher aux fonctions sinus et cosinus. Ce petit exploit pourrait bien changer notre façon d’étudier la géométrie et la trigonométrie.

Une tradition remise en question

Le théorème de Pythagore, vous savez, celui qui dit que dans un triangle rectangle, la somme des carrés des deux petits côtés est égale au carré de l’hypoténuse ? Eh bien, il a été prouvé encore et encore au fil des siècles. Mais une preuve purement trigonométrique ? Ça, ça semblait impossible. En gros, comme la trigonométrie s’appuie sur ce même théorème, on risquait un cercle vicieux si on utilisait sinus ou cosinus pour essayer une preuve.

Eh bien, Ne’Kiya Jackson et Calcea Johnson n’ont pas eu froid aux yeux ! Étudiantes à l’Académie St. Mary à La Nouvelle-Orléans, elles ont commencé leurs recherches innovantes en 2022 et ont présenté leur travail lors d’une conférence en mars 2023. Leur méthode originale utilise intelligemment les propriétés fondamentales des angles et du raisonnement proportionnel pour faire leur démonstration.

Des étoiles montantes

Côté études, ces deux jeunes femmes ne sont pas en reste ! Ne’Kiya Jackson est actuellement en doctorat de pharmacie à l’Université Xavier de Louisiane, pendant que Calcea Johnson se lance dans l’ingénierie environnementale à l’Université d’État de Louisiane. Leur travail a été salué lors de sa présentation et accepté pour publication dans le prestigieux American Mathematical Monthly.

Elles ne se sont pas arrêtées là : cinq preuves supplémentaires du théorème sont nées grâce à elles. Cela ouvre plein d’autres pistes possibles dans différents domaines scientifiques comme l’ingénierie, la physique ou même l’informatique. Leur succès montre bien que même les lycéens peuvent apporter quelque chose de neuf aux mathématiques. Comme le dit Álvaro Lozano-Robledo, mathématicien à l’Université du Connecticut : « Certains pensent qu’il faut être dans le milieu universitaire pendant des années avant de produire quelque chose de nouveau en maths ».

Un vent d’inspiration

Les retombées de cette découverte dépassent largement le cadre académique. Tom Murdoch souligne : « Un vrai bouleversement qui pourrait amener à revoir nos perspectives en géométrie, trigonométrie et bien plus encore ». Effectivement, cela pourrait donner envie à d’autres jeunes chercheurs d’explorer les limites du savoir sans craindre les obstacles qu’ils imaginent.

Pour Jackson et Johnson, c’est aussi un message fort pour les jeunes femmes et les femmes issues des minorités : « Je suis très fière que nous puissions être une influence positive », déclare Johnson. Leur histoire est un bel exemple que passion et persévérance peuvent aider à franchir toutes sortes d’obstacles dans n’importe quel domaine scientifique.

L’exploit remarquable de Ne’Kiya Jackson et Calcea Johnson rappelle avec force qu’on peut toujours voir les choses autrement, même quand elles semblent établies depuis toujours. Alors que leur découverte continue d’inspirer collègues et mentors, elle invite chacun à repenser ce qui est possible quand on ose défier les conventions avec curiosité et ténacité.

Commentaires

VU QU'ELLES NE MONTRENT NI LEURS FESSES NI LEURS MUSCLES...

Albè

06/02/2025 - 18:30

...ça n'intéressera personne ! Aux du monde entier, hélas, les Nègres sont des API (Amuseurs Publics Internationaux) : des chanteurs, des musiciens, des danseurs, des footballeurs, des basketteurs, des acteurs de cinéma. Ces deux jeunes mathématiciennes sauvent (un peu) l'honneur. BRAVO A ELLES !

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