Alors même qu'aucun créoliste n'a jamais prétendu que le créole était la question la plus importante de la Martinique mais seulement L'UNE d'entre elles, l'hystérie continue à se développer autour du vote par la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique) de la "co-officialisation du français et du créole".
La Namibie ? Pays peu connu sous nos cieux caribéens qui se trouve au sud-ouest du continent africain, pays frontalier de l'Afrique du Sud, pays où se déroula le tout premier génocide du 20è siècle, celui du peuple herero par les colons allemands entre 1904 et 1908.
De nos jours, grâce à l'Internet et tout particulièrement Google et Wikipédia, tout citoyen a la possibilité de vérifier les dires des politiciens, des leaders d'opinion, des journalistes, des intellectuels ou des lanceurs d'alerte.
Ek mi anvwala sé atè Matinik, atè ti zizing péyi-nou an, i fè tan paret yè oswè ! An bidim limiè blé épi vet anni kouvè siel-la toubannman, an limiè ki té pi fò ki ta soley-la, ek i anni kléré toupatou.
Drôle de pays que cette minuscule tête d'épingle qu'est la Martinique, "ce lambeau de France palpitant sous d'autres cieux" comme se plaisait à dire poétiquement le Grand Charles.
La modestie n'est pas la chose la mieux partagée en Martinique. Loin s'en faut ! En effet, il n'y a pas si longtemps, quand avait éclaté une épidémie mondiale par la faute d'un virus supposément venu de Wu-Han (Chine), on a vu surgir dans l'île-aux-fleurs une véritable armée d'épidémiologistes, des bataillons entiers de microbiologistes et des régiments d'infectiologues.
Sa ka fè lanné ek lanné éti tout kalté espésialis goudougoudou (tremblement de terre) ka espitjé moun Matinik pokosion-tala. Ni an sikti yo ka kriyé L'Université Populaire et le la Prévention éti sé Albéric Marcelin ki met-a-manyok li (responsable) ki las ka difizé mésaj asou sa.
Le vote de la co-officialisation du créole et du français à l'unanimité moins une voix par la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique) a provoqué un délire verbal presqu'aussi grand que celui qui était né du refus de la vaccination contre le covid-19 par une majorité de Martiniquais.
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En cas de dissolution de l'Assemblée nationale, accepterons-nous une nouvelle fois que les négro-lepénistes martiniquais insultent notre histoire ?
