Au procès de Nicolas Sarkozy qui se déroule en ce moment, il y a un mystère qui pourrait, s'il était résolu, mettre en pièces la défense de l'ancien président français accusé d'avoir reçu des fonds secrets de la Lybie à hauteur de 20 millions d'euros pour sa campagne électorale de 2007. Ce que l'intéressé nie...
L'affaire tourne autour du grand argentier du régime, Béchir Saleh, qui avait la mainmise sur les immenses revenus pétroliers de la Lybie et qui, par ailleurs, exerçait la fonction de directeur de cabinet de Kadafi. Voici ce que RMC écrit à propos de ce personnage :
"Nous sommes dans l’entre-deux tours de la présidentielle 2012. L’enquête libyenne débute à peine et Béchir Saleh est à Paris. Photographié et questionné par des journalistes, il est sous le coup d’un mandat d’arrêt international.
Sur l'antenne de RMC, le 2 mai 2012, Nicolas Sarkozy assure que l’ancien dirigeant libyen sera remis à Interpol. Or, le lendemain, Béchir Saleh est au pied de la Tour Eiffel pour un improbable rendez-vous avec le sulfureux intermédiaire Alexandre Djouhri qui multiplie les allers-retours à quelques mètres de là avec Bernard Squarcini, le tout puissant patron des services de renseignement.
Deux heures plus tard, Béchir Saleh s’envole discrètement dans un jet privé depuis l'aéroport du Bourget, sous un faux nom. Une exfiltration incompréhensible, sur laquelle Nicolas Sarkozy et ses co-prévenus vont devoir s’expliquer."
Bizarre de chez bizarre, non ?
Boudoum !
Lire la suitePour qu'il n'y ait pas d'ambiguité ni d'intrusion manipulatrice malveillante: je condamne l'antis Lire la suite
Si je partage globalement les développements de cet article sur l'antisémitisme au Parlement euro Lire la suite
...les suprématistes juifs qui squattent les médias et tous les Juifs !
Lire la suiteSans évoquer la surreprésentation des personnes juives sur les plateaux télé dans les débats sur Lire la suite