Alors que dans nos "Isles françoises de l'Amérique" on s'émeut à l'idée d'un possible tout petit début de commencement d'autonomie et qu'en ce mois d'octobre consacré internationalement à la langue créole, on se demande encore à quoi elle sert, la Dominique, indépendante depuis 1978, n'a pas ce genre d'interrogations.
C'est elle qui, en 1981, lança la JOURNEE INTERNATIONALE DU CREOLE chaque 28 octobre, vite suivie par les Seychelles, Maurice, Haïti et Sainte-Lucie. Au fil des années, cela devint la SEMAINE INTERNATIONALE DU CREOLE, puis LE MOIS DU CREOLE, aujourd'hui fêté en Martinique, en Guadeloupe et en Guyane comme dans les diasporas créolophones d'Europe et d'Amérique du Nord.
Il n'y a, soit dit en passant, que dans les deux colonies insulaires que l'on trouve des hurluberlus pour demander que notre langue ne s'appelle plus "le créole" mais "le martiniquais" ou "le guadeloupéen". C'est aussi intelligent que si un Colombien disait "je parle en colombien" ou un Vénézuélien "Je parle en vénézuélien". Il est vrai qu'en Belgique, on parle "le belge", n'est-ce pas ? Ben, oui, un Tunisien parle "le tunisien"...
...y'a pas que des St-Luciens à emmener de la drogue en Martinique ! Lire la suite
Mèsi ba nouvèl-la : "En réalité, suite à la Convention de Montego Bay, la France possède le 1er ( Lire la suite
Non mais c'est QUOI ? Lire la suite
Je me disais bien aussi que les dernières miss France étaient bien moches ,à commencer par Mlle A Lire la suite
T'es plus intelligent que l'avocat Raphaël Constant, rédacteur de l'article, qui a plus de 40 ans Lire la suite