Déballage sordide Salle Diderot, ce lundi au Tribunal de Paris, lors du premier jour du procès d'Alex Ursulet accusé de viol par une avocate-stagiaire.
La Cour Criminelle de Paris plus exactement.
En effet, le bougre s'est vu contraint de dévoiler sa vie sexuelle à la barre, vie pour le moins agitée puisqu'on y apprend, de sa bouche, que, par exemple, il est allé dans un club échangiste avec une collaboratrice. Et notre homme de s'empresser d'ajouter : "Ça ne me plaisait pas et j'ai dit: Je m'en vais". Il avoue aussi une infidélité au cours de son dernier mariage tout en assurant ne s'être jamais livré à aucune "dérive ni déviance".
Le présumé innocent fanfarronait nettement moins qu'à l'ordinaire en tout cas.
Du côté de la défense de la victime présumée on insiste sur le "caractère manipulateur et dominateur" d'Ursulet qui risque, s'agissant non pas d'un simple viol mais d'un "viol aggravé", vingt ans de prison et la radiation à vie du barreau.
Demain 11 novembre, le procès fera une pause, jour férié oblige, pour reprendre les 12, 13 et 14 novembre.
Va y'avoir du sport !
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