Jeux de construction et quête d’appartenance : les écrivains antillais et le texte persien

Véronique Bonnet ("Fondation Saint-John Perse")

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« Saint-John Perse, le plus essentiel des poètes vivants » écrivait Glissant, en 1969, dans L'Intention poétique1. En se référant à cet aîné primordial et en instaurant une sorte de corps à corps avec la poétique persienne, Glissant inaugurait une tendance qui, au cours des décennies suivantes, n'a cessé de s'amplifier, de s'enraciner solidement dans les lettres antillaises.

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