Œuvre au rouge : encréer

Loran Kristian

« A quoi sert de changer de lieux et d’habitudes

Quand on ne peut changer son cœur ? »

Frères volcans

*Récif-s

Quand vient une dernière parole, extrême goutte d’eau dans un trio, vient à même un jugement dernier et son cortège d’actes manqués. Il faut être sacrément à sec pour l’imaginer détenir quelque chose qui pourrait être en prise, qui servirait l’esprit, ferait monter ensemble. Comme des chevaux de dévoilement dont le diable a fait un engin galopant sur trois pattes… Poète qui parle, petit joueur graine-dé devant des choses sérieuses, qu’est ton économie ? Une langue de serpent mordant au royaume qui ment ? Une gicle sans détour ? Un principe du réel dans une glotte du monde ? Des plis vocaux qui tentent d’envenimer un peu de sel entonné par la mer ?

Il faut te dire, assurément ravagé. Arraché depuis l’enfance à toutes les terres, à tous les airs, à tous les feux, à toutes les eaux. Arraché-déplanté, pis, attaché-planté, enraciné à répétition ou déployé à nouveau en de multiples occasions, pour finalement rester vivre quelque part. Puis devenir quelque chose en migan de parts d’ombre et de lumière. Ou devenir quelqu’un, peut-être au finale conque minérale, animale ou végétale ? Quel que soit : être comme sidéré. Comme chose ailée ou rampante appartenant à une famille proche ou intime, quelle qu’elle soit, mais aussi à un bout d’espace au nom de lieu cartographié. Chorégraphié. Et donc porter dans l’invisible ou sur papier, l’écriture d’une terre, l’alphabet des cicatrisations.

Quand vient cette beauté cachée, strombe fragile, cela annonce une nouvelle aussi attendue qu’imprévue, au temps pour nous, à la mesure où nous nous sommes trompés. Une chose aussi invisible qu’invincible : L’heure là, autant dire : Là, bonheur.

Un corps qui ne se sent pas et qui pourtant s’élance depuis la nuit des temps. Bien à couvert des nébuleuses et des spirales échiquetées, dans un labyrinthe de matières aux couleurs du divers, sous les ondulations célestes. Une belle heure là, pour clore un chapitre du temps avec toutes les difficultés que cela comporte, compte tenu des efforts et des morts cumulés au grotesque des fictions. Leurs agents de moulage, façonnage et représentation. Engeance qui ajuste la taille des routes et la dimension des parcelles de vie, arrange les permis de construire ou de conduire l’avenir, surveille la forme des églises, programme l’éducation selon son bon vouloir, autant dire : mauvais mouvoir. Hommes et Femmes à puissance de feu, d’or et d’arrangement qui empirent le bienfait et la bonté par le surplomb, en toutes ses manifestations.

Au sommet, en possibilité qui persiste et signe les impressions dans telle ou telle direction, le sentiment ne ramène pas du raisonnement qui surveille les débords. Il reste rationnel pour bien savoir compter. Conter pour ne pas voir ce qui, sensationnel, dérange les petits cercles et les petits carrés. Aussi, quelles que soient l’histoire et la géographie dans lesquelles on s’étire, un petit quelque chose existe et croit. Une combine poussée au centre d’un vide où se tenir debout, dans tout l’imaginaire. Dans toutes les relations. Dans les traces des cartels comme les chemins de collections. Tous les fils à choisir ensouples de trame ou de chaîne à tisser.

Cela donne parfois des confréries et des cellules à la manœuvre, des loges de spectacles et contacts entre prises. Cela dans une souveraineté qui fait une pyramide reliant une base si angulée, en ses multiples faces, qu’au sommet ruche un miel de poudre farineuse et de gouttelettes de feu. C’est là, une présidence. Une chefferie construite bâtiment d’intérêts bien compris, une coulée décisionnaire d’où converge le secret des affaires. Une tractation serrée, couverte de bruits ambiants et d’aboiements, sous la menace d’un mors. Comme chacun sait, il convient de brouiller les pistes et l’évènement, pour que chacun se prenne son pied dans la toile, puis d’habiller en chien errant ceux qui ressemblent trop à des humains.

Les entre-prises conspirantes, aussi connues comme private joke d’intérêt général, courbent l’espace et le temps afin que le désir inverse l’œil et, sous le sens économique, les formes indéterminées. Partout, patente : la catastrophe. Ce renversement tombant infiniment qui cabale en demeure immuable, en groupe vertueux, en fonds de caisse dans des forums d’affaires. C’est une durée allongée au creux de l’existence, en retraite traversée parmi toutes les terres, toutes ces laves surgies en phalles. Nul n’échappe. Nulle, à ce jour, n’ayant clairé leur bruit. Pourtant, les pistes et les essais se multiplient.

Recommencer.

Tendez !

Au cas semblant,

bon comme mauvais,

mauvais-sujet,

mauvais-vivant,

en matière qui subsiste.

Là,

qui persévère suivant son même fond d’ocre :

un souvenir de sable rouge et de roche-vague.

Une houle comme une montagne de vie, montant des krik et descendant les kraks des gravités, aussi vieux que l’on puisse paraître, palpant la prise de fer dans l’union des oxides et de l’air non vicié. Une foule à qui l’on ordre de se taire ou de marcher bien droit, dans le calme de la nuit. Des cellules se tenant par la main en flagelles du corps, corps capsule-désirante par où vient l’impossible d’incendier sans que s’immole la vie.

C’est donc ça, respirer. Reprendre son souffle de puits sec, au percement du ciel. En faire des nœuds de vents et de poudre de mers inspirées, en allées solidaires. Avoir les coudées franches qui permettent le maintien de la situation, au vu des circonstances, donc en plein mur d’orages. Car en symétrie des vivances, les corps ont des réponses différentes, grandeurs de formes et positions diverses dans les mâchoires du temps. C’est donc là, expirer. Rendre ce soupir qui marque la zone des silences, sa tête ovale et noire entre des lignes attachées à la hampe. Une portée dans les hauteurs de musiques insondables.

Trempé’e comme des mots, tu reviens. Pour dire la chose qui n’aura de sens et de valeur que dans la place où tout se tient. Case où s’en vient ta lune. Touchant intégralement au vif et au sujet, dans le plus manifeste des tourments, à la course du soleil. Car tu sais que ce qui se sait se sait, quand ce qui ne se connait pas est bien plus grand que toi. Or en la matière, en règne des dominations, conquêtes et possessions, tu sais et tu connais l’internationale de la souffrance, l’internationale du crime et celle de l’oppression. Qui ne basculeront la relation qu’en recevant une fessée carabinée.  C’est donc là, qu’il faudra déciller, débalancer ta douce candeur. Quand tout s’écroule autour de tout, quand le regard de l’enfance se noie au cataclysme des cendres. Que la terre continue à tourner. Leur terre caillée.

Nous savons qui vous êtes. Savons d’où vous venez, où et comment vous allez. Ce qu’il nous est permis d’expérer. Nous n’attendons que dalle de vous, conscients que vous ne céderez rien du privilège de tuer ou d’éborgner légitimement, puis de voler au dessus des mêlées. Vous, obscures indécelables brisant à découvert. Ombres sournoises, ténèbres polies. Nouanchak-1-ce-Nou. En marche sur les charniers, légitime défense sous notre chaleur, en cabrouet vont nos peurs qui s’envolent, vapeurs, au milieu de toutes parts et de complexes cités. Entrant par les pupilles, les tympans, creusant les pores et tous les chemins cabossés, pour déformer les vues comme les idées. Jusqu’à vous faire régurgiter les toiles criblées d’enduit et cette glu coulée du sang, des sueurs et des larmes, la colle là dans vos enfantements. Visqueuse. Élumineuse.

Tu sais…tu connais…et tu ne passeras pas.

Nous serpenterons le temps. Ozanam !

Ce qui s’apprend dans le devenir appose à l’or une bonne mesure et la même bonne fureur.

*Herbier-s

Les points éloignés sur une toile-à-régner forment des orbitèles. Ces circularités construites de lignes verticales en rayonnement horizontal, serties de centres et de spirales, avec aussi des lieux quelque part plus opaques, moins visibles mais plus denses, en croix, en soie. C’est un autre plan vivace, sans touffes de racines qui, en l’ère, protègent les larves pour l’appétit des puissances, dans les vases aussi bien que les dunes.

Commence par dévider un unique fil de soie, lancé aux traverses de vent, qui viendra s’accrocher à la feuille voisine. Derrière ça, tendre et retendre horizontalement en parcourant fil après fil, encrage après ancrage, jusqu’à la pousse au centre de nulle part, là de laquelle poussera ce rayon de lumière impareille. Personne n’a jamais fait la nique aux fureurs, aux bonnes mesures, pas plus que la guerre au bonheur.

Que la chose se passe selon ton talent, en poids de femmes et masse d’hommes, selon ce qui accorde ta mue de rêves et foule de fantômes aux notes du disque de lumière. Toi, petit papillon du chaos au centre des tornades. Emmène-revenir le cauchemar, urne-cabane en vers à soi, qu’ils ne sachent où donner de la tête. Ils tireront dans le tas, comme ils l’ont fait déjà. Dégueule descendre le génie, fortifié en lieu d’étude et de loisir, où la maîtrise de soi quelle que soit la voie, rendra les gens bons et l’écho son. Restant caché pour eux tant que silence se peut, comme en ponctuation sise dans un blanc graphié ; leur terreur. Tu te présentes le matin de chaque jour dans leur sainteté. Accumulant partout, par tous les temps, recoupant les pixels et les bits –le sombre en petit intervalle- pour vivre dans tout l’étang du monde, depuis Akkad, depuis Elam, jusqu’à Sa mère ! En cinq minutes par jour, tu mets de la lumière sur pellicule, des ondes sonores sur une membrane. L’empreinte qui t’a faite unique chance de vivre ce que personne ne vit, façon de faire tomber leur nuit. Leur emprise de venues en découpes, en fichiers, petites lames données, ces petits fers enfoncés.

Ils te diront que tu dois t’adapter, toi et ton intelligence éloignée de l’arrangement que l’on tranche, là où tu dois montrer patte blanche. Ici, en différence d’ailleurs, on passe le goût du silence au tamis des caches qui rient. C’est ici que progresse une tumeur sentimentale, celle qui condamne en dépendance. En accessoires au nom du Domaine, en périphériques reliés au centre du donner opérant en lecture aussi bien qu’en écriture déviées. Des lieux de destination touristique identifiés par suite de chiffres intelligibles et facilement mémorisables. Comptés sur les doigts d’une main ; petit poucet à petit caillou pour ne pas perdre le chemin. Ainsi, séjourne comme sénuite le goût de l’habitation où se discernent les saveurs de sucre et le sens de l’acide. Des terres confisquées, trésors promptent à se briller rebelles, des terres et attachées, des encadrées de chose publique qui te rappelle à l’ordre des invertébrés, concombre, étoile de mer, des éponges sans véritable système nerveux excrétoire, et sans muscles. 

Aussi, comment dans cette synthèse combinatoire, invraisemblance faite âme, débrouiller sans pêcher en nouvelle symphonie ?

Au cours des zones humides, dans l’invisible vent circulant par le sel, advenir donc organe. Inondé de marées qui contractent et dilatent le mouvement, dans un même balan. Vulgaire, mais pas banal futaille rouge, désarrimée au ban des seigneurs, bien dans la multitude et la libération. Ce qui écorchera le domaine des régences pour faire tomber l’état dans lequel elles se trouent. Les grandes autant que les petites, bien malement à l’écoute des dépressions sous les latitudes moyennes. Le pouvoir dans l’œil entouré de nuages, quand les masses polaires rencontrent les masses chaudes au long d’un ruban d’ouragans. Quand les subsidences et ascendances s’enroulent, entournées au régime des vents continus et changeants, pour en créer la vie. Effet de serre et de proximité.

Nous prenons tout sous le songe-marée. C’est du futur que nous venons. Nous voyons les iris messagers, de fenêtre en fenêtre ouverte. Un arc-en-ciel-en-terre de relations sauvages ek d’une parole sage. Debout dans la cité, avec droit de paraître en personne, en justice, en jugement ; droit de regard sur l’ensemble des secrets d’affaires, des secrets commerciaux, évasions négociées en confidence d’union sur la place du marché. Debout dans ce qui nous concerne et nous crible. Hauts. Pour regarder les distances impossibles taillées dans le roc parsec du temps, ces mesures pour lier des quantités. Pour admirer d’autant temps le décalage vers le rouge de l’ensemble du spectre, vers ces grandes longueurs d’ondes sur les bleus d’expansion. Les aigus et les graves. Grives aussi, venues du sol-savane. Le rêve en alternance dans l’immobile, redressé sur les pattes, tête haute, légère penchée sur le côté pour une course rapide. S’arrêter lever brusquer les ailes, la queue pointée en direction du ciel, piquant du bec dans les insectes ou granules repérées, puis reprenant un même manège. Et toi Carouge ?

As-tu kité la pesanteur ?

*Manglove-s

Douillé les attractions et les malaises pour communier ensemble ? S’apprendre et se connaître à l’embouche, à l’entâme. Avant-parler. Avant-dire quittant, lui, l’avant-garde pour les effets de variation. Laissant les capitaineries et commandemants fendus par la maîtrise souveraine du corps. Des fonds débarrassés de tout ce qui se tient devant pour barrer la lumière, simple d’une main maniée, d’un regard nouméal.

Considérer l’ampleur faite de creux en lits d’eau, de plaines où montent les sens, d’un nombre incalculable de germinations dessinant les couleurs et les courbes, de courants profonds, de courants aériens, et tout ce qui remue, et tout ce qui déplace les foules et les montagnes, un regard attentif parsemé de lueurs, pour se voir répandu çà et là, qui dépasse en mesure ordinaire ce qui compose aux verbes être et avoir.

Simple idée, hein ? Et puis n’y comprends vraiment rien ! Tellement buée. Grande cruche, terre cuite, chose légère, évanescente comme un poème. Qui ne vient pas tout seul bien sûr, mais porte au corps-à-corps un sacré phénomène. Une enveloppe ordinaire recouvrant l’apparence d’un signe relationnel, un cygne contrefait homme-sapience.

_Seigneur… é é ! voilà qu’il commence à dire n’importe quoi ! Qu’est-ce que tu dis là ?

*Es ou konprann dé bagay konsa pé fèt ? Anni rété-la désidé lanmizè vini dous, kidonk kité’l maché, pa bay gaz. Rété tantjil pa brennen, pa fè kòlè, pa fè violans… Es moun mérité sa ?

_Faut pas croire tout ce qu’on dit… On t’a jamais dit ça ?

*Jennjan, pa konprann sé anlè mwen ou ké fè wotasion’w initil-la ! Lèt poko té sòti pou wè’w, an té ja ka fè’y koulé an pié !

_Je ne fais pas de rotations… c’est juste que le monde est plus comme avant. T’es juste un peu dépassé, mais c’est normal de pas savoir utiliser des trucs ou d’être pas calé dans le digital, avec ton âge.

*Ga’y sa : sé pas zot pani respé ankò bagay-la ka pati tjou-pou-tèt !

_Ben de base euh, c’était pas non plus le top des tops au départ, quoi !? C’est un peu compliqué de prendre la suite des opérations, non ?

*Rayi chien di dan’y blan ! Nou fè sa nou té pé pou tjenbé larèl péyi-a. Goumen adan lannuit pa fasil ba pensonn.

Une âme est de poche en papier par laquelle glissent des feuilles, des lettres et des signes de vie. Elle enveloppe un poids particulier, une masse à nulle autre pareille. Devant la porte ouvrant le passage aux enfers, au temps passé, certains considéraient ces valeurs différentes en poids de muscles d’homme, en poids de dents d’enfants, en poids de seins de femmes, évitant soigneusement l’iris noyé de larmes roulées finement à des anneaux de fibres et de pigments aqueux. Regardant ailleurs. Se rinçant l’œil, afin qu’aucune lumière ne pénètre violemment la prunelle noire. C’est un geste prolongé par cette pointe du temps qui dit les non-retours. L’étoilement de l’errance. A quoi bon savoir lire et écrire ce langage officiel si encore, de nos jours, dans chaque suie, sous chaque ciel, l’œil se noie. Quand sur toutes les herbes et les montagnes, qu’à travers les routes d’asphaltes ou les traces de rocailles, c’est la langue du fort, du beau, la langue du plus haut et du mieux équipé qui assure le succès de l’exécution. Prévenant les imperfections qui servent à décrier, lorsqu’on n’a pas été mis à même de ressentir l’action du feu.

Dans ce monde à la violence damnée, ceux qui se retrouvent sur un grill où les conques d’envie se proposent à chauffer, sont aussi ces évasés, les rétrécis, corps combustibles chassés en proportion d’aires libérées. Ce monde où les armes, missiles, les balles blanches ou celles à feu, serties de blindages et de chimies radiantes, se fabriquent par les gens biens et les bonnes cravates. Dans les beaux pays tournés démocratiques ou les mauvais pays gâtés. Puisqu’il faut accepter que les corps soient réduits en sucre, en raison des déflagrations et des effets de combustion, parce qu’il est entendu que personne ne veut sa chair en brûlis de piment, il faut voir à l’écume des chaudières, le vin des cannes comme le vesou qui conserve sa fluidité, l’horizon pour garder dans le retour au calme. Tous les équipages espérant du bien-beau, qu’autant qu’on a sur le feu une grande quantité à la fois, parfaitement écumée, avant finir de cuire, (plus vif auprès du foyer qu’aux abords éloignés, et sans prétendre intimiser), donc encens de liqueur, enfin, pour que s’éprouvent de grandes actions dans l’infusion des vents.

_De toute façon, il n’y aura aucun survivant ; l’homme est un loup pour l’homme et surtout pour la femme… toi-même tu sais que les ravets ont toujours tort devant les poules !

*Sel bagay man sav, sel bagay moins cètain : sé ke sa man pa sav gran passé moins. Quidonc, sa nou paka wè adan ti vouèl kò-nou-minm, sé pétèt sa ki pli gran batiman-nou ek pal gran chance nous.

_Poy poy poy… tu parles comme si t’avais avalé un mort.

*Kontinyé fè lafèt épi mwen tyanmay ! Fil ka pann pa fèt pou séré goj-a-moun, mé man sa fè lonbrik-ou viré monté an bouden manman’w, san piès voukoum. Kantapou pawol-ou…

_LOL ! Tu crois qu’on va rester encore longtemps ici ? Je veux dire rester sans disparaître… j’ai envie d’dire.

*Nou sé ki moun ? Tout bagay ka pran lavol an jou, tout bagay ka pran van. Lespri ek kò. Moun tou !

_Ouais ça on sait. Merci. Sinon on fait quoi en attendant ? Vu qu’on nous empoisonne ou qu’on nous emprisonne avant de nous réduire en poussière, en nous prenant pour des cons biensûr.

_Nou ka gadé mas pasé a-zam-kant… Sa ou lé mwen di’w ?

Loran Kristian, mai 2024

« L’achronique continu »

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