Né des recherches menées par l'auteure en Haïti et dans les principaux pôles de la diaspora haïtienne entre 2018 et 2021, cet ouvrage explore les différentes modalités littéraires de représenter le séisme survenu en Haïti le 12 janvier 2010. Au fil des chapitres, l'auteure retrace la présence des catastrophes naturelles dans les littératures francophones de la Caraïbe (Martinique, Guadeloupe) et dans quelques oeuvres publiées en Europe et en Amérique du Nord avant d'aborder le corpus littéraire haïtien.
Les résultats des analyses montrent que la littérature haïtienne, tout en restant sensible aux questions éthiques, a pour la plupart échappé aux programmes littéraires ou aux préceptes idéologiques et a privilégié une pluralité de manières de mettre en mots le tremblement de terre et ses conséquences. Cette traversée des représentations de la catastrophe naturelle dans des contextes culturels variés permet de considérer les littératures francophones caribéennes en tant que littératures de frontière, ouvertes aux valeurs multi- et trans- culturelles. En particulier, le corpus haïtien apparaît comme un espace de circulation de discours hétérogènes et non pas comme une production autonome, repliée sur elle-même.
Albè, quelqu'un a-t-il jamais nié l'existence d'un racisme anti-noir dans le monde arabe ? Lire la suite
Merci Frédéric...
Lire la suite... "Nuit noire" et Albè. MAIS DEUX POINTS À RAPPELER. Lire la suite
Un lapsus s'est glissé dans mon commentaire ci-dessus: Lire :..les Palestiniens de Gaza et non . Lire la suite
1) Comme vous le dites vous-même: " étant les premiers concernés" par le "racisme anti-noir" des Lire la suite