Point final à la lutte qui était engagée pour coiffer la CGT. Résultat : une féminisation très ostensible de la centrale syndicale. L'une des plus importantes de France. En lice, il n'y avait que des candidates. Les femmes dans les jeux de pouvoir. Il est grand temps en effet que, partout, tout le temps et à tous les niveaux, les femmes se coltinent à leur tour les dures réalités de l'administration des hommes et de la galvanisation des peuples. La féminisation accélérée pour endiguer, contrecarrer, juguler l'obscénité du libéralisme économique le plus débridé.
Et c'est donc Sophie Binet, 41 ans, une cadre, qui va cadrer les prolos, les métallos et les bleus de chauffe parfois imprégnés de cambouis. Faire confiance aux femmes, les mâles y pensent enfin. Cette fois-ci, on y est. En plein biotope ouvrier. J'espère qu'ils ne vont pas se débiner. Et ne se comporteront pas en malotrus.
Quand elle sera à l'oeuvre, on étudiera le cas Binet. Ne fermons la porte à aucun scénario. Dans l'immédiat, changement de décor. Nouvelle façade à mémoriser. Nouvelle mine pour dessiner au fusain un trombinoscope en plein renouvellement sur le terrain de la confrontation sociale. Frimousse mutine. Après les moustaches de Philippe Martinez, 62 ans demain, il nous faut devenir des spécialistes en binetterie.
Malgré la rage qui me ronge de voir mon île dévastée par des étrangers venus d'ailleurs qui sont Lire la suite
...cette précision, cela n'a rien à voir avec le fond de l'article. Me semble-t-il...
Lire la suite"National" au sens "national Mquais". Ça va sans dire, mais ça va mieux en le disant...
Lire la suite...mè "dannsòl".
Lire la suiteSi on vous comprend bien, MoiGhislaine, le charbon de Lorraine devrait, pour reprendre votre expr Lire la suite