Faut-il attendre que le Papa Blanc ou la Mère-Patrie décident de chercher des solutions à l'empoisonnement de notre pays par ce dangereux pesticide organochloré qu'est le chlordécone ? Faut-il se croiser les bras et espérer que la justice convoquera à la barre du tribunal les importateurs békés du chlordécone ?
Seul un crétin de député, qui ne connaît rien à rien, peut le croire et donner en spectacle son ignorance devant le président MACRON en visite dans notre île. Il faut évidemment commencer à proposer des pistes, dessiner des débuts de solution de façon à soulager un peu la détresse de nos agriculteurs dont les terres ont été impactées par l'usage de ce pesticide. Car il existe des terres non contaminées ou très faiblement contaminées à côté des, malheureusement, 6.000 hectares qui le sont pour les 150 ans à venir et sur lesquelles il faudra envisager d'autres cultures que les légumes-racines (dachines, ignames etc.).
C'est ce que tente de faire la PNM (Parc Naturel de la Martinique) avec son "Label ZERO CHLORDECONE" qui vise à rassurer le consommateur martiniquais en authentifiant les produits qui ne sont pas contaminés. Car jusqu'à présent, en dépit des beaux discours des uns et des autres, des "plan-chlordécone", des réunions en préfecture, il continue à exister un certain flou dans la traçabilité des légumes-racines que nous achetons sur nos marchés. La cartographie des terres contaminées n'est d'ailleurs pas achevée !
Ce vendredi 05 octobre, à la Ferme Perrine, au Lamentin, 40 nouveaux agriculteurs se sont vus attribuer ce label comme on peut le voir sur la vidéo ci-après...
Jump Air ???? Peut-être le nouveau nom de la West Caribean ?
Lire la suiteUn tableau comparatif des prix de cinq denrées alimentaires quotidiennement utilisées (oeufs, via Lire la suite
...ce n’était pas l’objet principal de mon commentaire, que sur le fond vous ne réfutez pas : une Lire la suite
Arrêtez de plaisanter ! Lire la suite
...ne jurent que par la Révolution cubaine, le marxisme-léninisme, sans aucune nuance alors que l Lire la suite