La République dominicaine porte encore les traces de la période coloniale, particulièrement en ce qui concerne l’usage, toujours actuel, d’un vocabulaire coloriste destiné à identifier et distinguer les personnes les unes par rapport aux autres. Ce riche vocabulaire est utilisé dans différents registres : sphère administrative mais aussi descriptions physiques des individus, interpellations, expressions langagières, etc. Dans de nombreux cas, les termes de couleur sont assortis de stéréotypes relatifs à l’identité sociale des individus, jugements qui interviennent parfois dans le déroulement des interactions. Cet article s’attache dans un premier temps à décrire le vocabulaire coloriste, ses « valeurs » et son lien avec la question haïtienne. Ensuite, il interroge les mécanismes de transmission et d’apprentissage des stéréotypes associés aux différents phénotypes à travers l’analyse de plusieurs médiateurs (termes d’adresse, injonctions sociales et bavardages, iconographie et scènes de la vie quotidienne) qui participent à la reproduction des catégories socio-raciales. Enfin, il se penche sur les stratégies sociales mises en œuvre pour occulter le stigmate de la couleur noire.
D'abord à Cuba, le tourisme est devenu depuis très longtemps la 1è source de devises. Lire la suite
Je n'ai jamis écrit que le site avait édité des articles pro-cubains .J'ai indiqué que le modèle Lire la suite
Les Seychelles vivent principalement du tourisme et de la pêche. Lire la suite
Sûr que l'Etat indépendant des Seychelles assure à ses ressortisants un niveau de vie correct ,ma Lire la suite
...pas un seul des citoyens de cette république lilliputienne n'a l'air d'être famélique ! Lire la suite