Telle fut l'exclamation de Man Dèdette, la femme-concubine de Ti-Sonson, l'homo martinicanus bien connu, lorsqu’elle vit à la télé les images se trouvant tout en bas du présent article.
Nous avons contacté le service dédié au dialecte co-officialisé de la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique) afin d'obtenir une traduction de ladite exclamation et deux heures plus tard, nous avons obtenu celle-ci :
"Ben dis donc, j'étais persuadée qu'ils mourraient de faim !".
N'étant pas sûr de bien comprendre nous avons alors pris l'attache du Sociologue Territorial, puis du Politologue Territorial qui tous deux nous ont fourni l'explication suivante :
"Cette personne est persuadée ou a été persuadée que parce que leurs îles sont indépendantes, ceux qui y habitent sont vêtus en haillons, se déplacent sans chaussures et même crèvent de faim. Elle par conséquent a été étonnée de voir cette foule tout à fait normale".
Ben dis donc !
Ce célébrissime chant de guerre maori est enseigné (j'espère que c'est encore le cas ) depuis qq Lire la suite
"Confronté à la justice pour son départ en retraite". Lire la suite
D'une mauvaise foi abyssale. Vous faites semblant de ne pas comprendre de quoi il s'agit. Lire la suite
...en France, elle sera lancée par les fascistes-racistes de rue (et armés, circulant en meute). Lire la suite
Super : exigence de partis ,de bandes ,de grouoes ,"d'organisations "et pourquoi pas de mouvement Lire la suite