Trente-six ans après La grande Béké, le roman à succès de l’écrivaine Marie-Reine de Jaham qui racontait le parcours, au siècle dernier, d’une descendante de colons français en Martinique, l’autrice, elle-même béké, revient avec la suite de sa saga. Cette fois, elle dresse le portrait de l’arrière-petite-fille, Garance, une femme qui veut s’affranchir de ses origines, dans un livre intitulé L’héritière de la grande Béké, publié chez Caraïbéditions.
Sur le site de Caraïbéditions, le roman est présenté comme suit : « Je m’appelle Garance de la Joucquerie et je suis l’arrière-petite-fille d’une femme légendaire qu’on surnommait la grande Béké. Près d’un siècle s’est écoulé depuis qu’elle me lança ce poignant défi : “Quelqu’un devra prendre ma suite, je voudrais que ce soit toi”.
L'héritière de la grande Béké © Caraïbéditions
La Martinique n’était alors qu’une colonie ployant sous la domination blanche.
Année après année, je l’ai vue changer, tenir tête aux anciens maîtres et peu à peu les évincer. Je l’ai vue essuyer la houle des bouleversements mondiaux, et enfin, faire face à l’immense basculement de la décolonisation.
Pour sauver son domaine, la grande Béké alla jusqu’à déshériter ses enfants légitimes, faisant de son bâtard le maître de la plantation. Elle avait tout organisé, tout prévu. Tout ? Non. Personne n’aurait pu prévoir ce qui est arrivé. »
...pensent ça en France, et qui le disent de plus fort. Lire la suite
...une "fake new": il n’y a rien dans "Le monde" du 26/5/25, ni dans les qqs jours précédent et s Lire la suite
...me semble-t-il avec l'idée développée dans cet article. Lire la suite
...passs con ne dit pas "la capitale de la Gaule", mais "la capitale des gogols"... Lire la suite
J’aimerais bien voir nos remplaçants blancs danser le bélé ,feter l’abolition de l’esclavage élir Lire la suite