S'il est devenu fréquent de traduire de grands auteurs de la littérature mondiale en langue créole tels que Sophocle (par G. Mauvois), Tirso de Molina (par V. Placoly), Guy de Maupassant (par J-P. Arsaye), Samuel Beckett (par Monchoachi) ou encore Albert Camus (par R. Confiant), moins fréquent est ce que l'on pourrait appeler la "traduction interne".
Il s'agit, au contraire de la "traduction externe", de traduire en créole les grands auteurs francophones de la Guyane, de la Guadeloupe et de la Martinique. Térèz Léotin, déjà passée maître dans la "traduction externe" puisqu'elle a traduit Lewis Carroll et Jean Giono, nous donne ci-après une belle version en créole du célèbre poème Hoquets du Guyanais Léon-Gontran Damas figurant dans le recueil Pigments (1937) ...
N'écoute pas ceux qui hurlent que PARCEQUE tu es d'origine indienne tu DOIS FORCEMENT être pour l Lire la suite
A quoi bon redire ce que j'ai expliqué dans mon post et qui contredit totalement votre premier po Lire la suite
L'article parle du départ de 4.000 jeunes autochtones par an, avec concomitament l'arrivée de 4.0 Lire la suite
...dénonciations d'agressions sexuelles de femmes françaises et européennes contre leurs parents Lire la suite
...ces retraités non-locaux dans la population marrtiniquaise pour la simple raison qu'ils passen Lire la suite