En dépit de l’interdiction de danses et d’assemblées d’esclavisés, formulée dès le 4 mai 1654 par le Conseil souverain de la Martinique et confirmée par les articles 16 et 17 du Code Noir, les esclavisés se réunirent au sein de kalendas, nations, convois et sociétés.
Ces espaces de convivialité, de solidarité à l’intérieur du système esclavagiste méritent d’être connus. Ils sont l’expression de l’humanité des mis en esclavage -pourtant officiellement réduits à l’état de biens meubles- de leur capacité à agir en tant qu’êtres humains. Ils sont à l’origine de nos mutuelles, sociétés de quadrilles, bals bouké, bèlè, soussou, koudmen et d’une partie de notre carnaval.
La conférence veut restituer l’humanité des esclavisés à travers leurs regroupements et en montrer les survivances dans la Martinique d’aujourd’hui.
...pas un seul des citoyens de cette république lilliputienne n'a l'air d'être famélique ! Lire la suite
...simplement dessus. Lire la suite
...mon commentaire ? Lire la suite
Dommage que l'on ne sache pas quel genre de danse pratique notre grand "souverainiste" !
Lire la suiteElisa Paulin peut-elle nous expliquer pourquoi dans un pays où règne apparemment "la vie chère" b Lire la suite