Matinik anni chapé-tonbé adan an sel manjé-kochon toubannman. An bankoulélé ka migannen nenpot bagay.
Kontel sé jou-tala, mi dé moun ka di yo krétien ki anni batjé adan mouvman-an ki ka goumen pou pri machandiz menm-parey an Fwans ek an Matinik. Sé an ansien labé ki dèyè sa ek misié ka di bon bétiz, ka vréyé bon vokal kont sé politisien matinitjé a. Lè ou ka kouté pawol-li asou vidéo ka sirkilé misié pli red ankò ki dé sèten dirijan mouvman-an. I ka trété sé politisien-nou an di initil, di volè, di isalop kisasayésa... ki pa janmen fè an tjou-patat ba pep-la.
Koté ansien labé-tala sòti ?
Sa misié za fè nan lavi'y pou i pé pèmet kò'y jouré manman sé politisien-nou an kon i ka fè a ? Fok sav i té an gran fimè zeb lè i té jenn bray ek i fè tan rantré nan légliz katolik ek i pwan lawob. I rété yonndé lanné labé épi i ladjé sa. Atjèman, misié ka vini ba nou lison ek ka dékalé politisien Matinik san-manman. Nan menm balan-an, i ka mandé nou gloriyé... Jézikri !!!
Ay chié ba'w, misié ! Ay chié épi Bondié esklavajis ek kolonialis ou a ki mété zanset-nou nan lestravay pannan 3 siek ! Bonda manman Dié-lè-pèw, Jézikri, Laviej-Mari, tou-lé-sen-di-siel rilijion krétien an !
Allah-ou Akbar an tjou-zot lè moman ké vini !
Les observations de Nature noire méritent qu'on y prête attention. Lire la suite
On le sait tès peu mais il existe au Brésil une importante communauté japonaise.ILs sont environ Lire la suite
Cet article est très intéressant mais il peut induire en erreur car le "patois lorrain" mentionné Lire la suite
Il est à supposer que cela reflète l'atmosphère ambiante de ce "pays" d'alimentaires. Lire la suite
Depuis quelque temps ,plusieurs textes de Fondas rédigés en créole sont truffés d'injures créoles Lire la suite
Commentaires
Chapelet de rires !
Veyative
28/10/2024 - 17:45
Dans ce climat anxiogène, ma foi, toutes les situations comiques sont bienvenues !D'abord, une vidéo dans laquelle cet ancien prêtre, déclare au détour d'une phrase :" ma femme me disait"...Puis, dans une autre , cette imposition de main sur un camion... Et pour finir, le présent billet : un bonda manman si osé, jamais lu auparavant et dit très sérieusement que j'en suis pliée.
KRA ! KRA ! KRA !
Albè
28/10/2024 - 17:56
Pays-tla ka pati tchou pou tête tout bonnement ! Pétête ki la simenn prochenn ké ni tchemboizè épi marabout ké vini rijouenn vacabonnagerie a.
Les injures créoles reviennent malheureusement en force.
Nuit noire
28/10/2024 - 19:48
Depuis quelque temps ,plusieurs textes de Fondas rédigés en créole sont truffés d'injures créoles bien senties.C'est vraiment triste.Fondas avait toujours réussi à maintenir tant dans ses textes français ou créoles un certain niveau intellectuel .Cette intrusion massive d'injures tire malheureusement le niveau vers le bas.C'est d'autant plus dommage que créé justement pour valorier le créole, Fondas avait réussi à lui redonner un certain balan comme dans les textes de Jid par exemple. Ces injures systématiques et multipliées associent à nouveau le créole aux injures ,tendance que tous les militants créolistes ont toujours voulu combattre. Les "Ay chié ba'w", ,"Ay chié épi Bondié " ,"Bonda manman" etc...n'apportent rien à l'argumentation. Ressaisissez-vous .
L'ATMOSPHERE AMBIANTE
Albè
29/10/2024 - 06:37
Il est à supposer que cela reflète l'atmosphère ambiante de ce "pays" d'alimentaires. Mais, de toutes façons, grèves ou pas grèves, émeutes ou pas émeutes, le Kréyol n'a jamais servi qu'à deux choses en Martinique : raconter des blagues (souvent salaces) et injurier autrui. Cessons de faire comme si nous ne le savons pas ! Arrêtons cette hypocrisie de Journée Internationale du Créole !
TAISONS
MONTHIEUX Yves-Léopold
29/10/2024 - 16:58
Les observations de Nature noire méritent qu'on y prête attention. Maintenons plutôt le débat, y compris en créole, vers (j'ai failli dire vers le haut). Il n'y a pas assez d'intervenants pour assurer l'équilibre. Un sujet : la sortie d'un nouvel ouvrage signé par l'animateur de ce site, qui a littéralement séduit un lecteur martiniquais averti, auteur lui-même, qui le trouve digne d'un Grand Prix littéraire. Taisons les noms et les titres. Pas seulement par superstition.