Suite à l'inauguration de la Cité Internationale de la Langue Française à Villers-Cotterêts, ville où François 1er prit, en 1539, un décret visant à remplacer le latin par le français dans tous les actes de justice, inévitablement sur les réseaux sociaux et les blogs martiniquais on a vu jaillir des salves de critiques.
Ces conards (à côté desquels les balais sont des lumières) se sont-ils jamais demandé ce qu'eux et elles ont jamais fait pour leur langue, le créole, ou s'il ne la parlent plus guère, cette langue que leur ont légué leurs arrière-grands-parents Neg-Djinen, Kouli-Mandja, Chaben-prel-si, Milat Mal-zorey et autres Chinwa-kanton qui coupaient la canne pour le Béké et dont la seule langue fut le créole. La réponse est évidemment : RIEN. A l'oral, le créole leur sert à injurier ou à raconter des blagues et à l'écrit, à insérer des expressions créoles dans leurs textes en français pour faire de l'humour à la con. Ecrire un texte entier en créole ne leur a jamais traversé l'esprit !
Donc, oui, Emmanuel Macron a raison de défendre SA langue et personne ne peut le lui reprocher. Surtout pas des parasites qui squattent la langue de L'AUTRE. Comme dirait Ti Sonson : Ay fè an lous pété an nen-zot !
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite
...toute la "classe politique" (qui n’est d’ailleurs pas une "classe sociale") sur le même plan ? Lire la suite
...ou ka trouvé tout diks-li, òben yo ka viré enprimé tou sa i fè-a vitman présé! Lire la suite
...À une époque pas si lointaine, l’adjectif qualificatif "national" était fréquemment utilisé po Lire la suite
ce sera très drôle! Lire la suite