Fils d'un riche aristocrate français et d'une mère antillaise, le chevalier de Saint-Georges débarque en France en 1758. Il participe aux fêtes du Palais-Royal et de Versailles, où ses talents de bretteur, ses compositions musicales et ses conquêtes féminines défraient la chronique. Rejeté par les siens à la Révolution, il sombre dans la misère et la déchéance.
"National" au sens "national Mquais". Ça va sans dire, mais ça va mieux en le disant...
Lire la suite...mè "dannsòl".
Lire la suiteSi on vous comprend bien, MoiGhislaine, le charbon de Lorraine devrait, pour reprendre votre expr Lire la suite
Je crains que vous n'ayez mal compris cet article. A moins que ce ne soit moi qui me trompe. Lire la suite
Il faut être un sacré farceur pour faire croire aux Martiniquais qu'un deuxième Cuba est possible Lire la suite