Jédi pasé, Matinik té ka pasé an vijilans wouj. Siklòn Bret té ka mennasé’y. Erezdibonnè, Bret-tala té vid, i pa pòté pies gwo déga, apaw yonndé piébwa moun pa tayé, i pofité lontwayé.
Ils sont amusants tous ces journalistes, commentateurs et autres experts français qui ressassent à longueur de plateaux-télé que "La France n'est pas les Etats-Unis" ou "Il ne faut pas importer les conflits ethniques américains chez nous".
Elle avait affaire à forte partie au Salvador lors des Jeux centre-américains et caribéens qui viennent de s'achever. Pourtant, Amber Joseph, la cycliste barbadienne, championne dans son île, a réussi à remporter la médaille de bronze dans sa catégorie.
Heureusement que cette tête d'épingle, ce "petit rien ellipsoïdal" (Aimé Césaire) n'intéresse pas grand monde sur la planète terre laquelle ne connaît son existence que grâce à trois écrivains (Césaire-Fanon-Glissant) que presqu'aucun insulaire n'a lu soit dit en passant.
Tel était l'intitulé de la journée de conférences (9h-17h) organisée au CDST (Centre de Découverte des Sciences de la Terre) de Saint-Pierre par la municipalité en partenariat avec l'Institut de Physique du Globe de Paris, l'Observatoire Volcanologique et Sismique de la Martinique et la société d'assurance GROUPAMA.
De plus en plus de lycéens et d’étudiants choisissent une langue régionale pour leurs études, voire s’inscrivent en lycée immersif. Qu’ils soient totalement bilingues ou en début d’apprentissage, ils sont unanimes : leur langue fait partie de leurs racines.
La question de la délinquance et de lʼinsécurité est au premier rang des préoccupations des Martiniquaises et des Martiniquais. Et les récents évènements ont renforcé la psychose. La presse sʼest emparée du sujet. Ainsi le grand journal “Le Monde” du 22/06/2023 titre : “Aux Antilles, l’emballement de la criminalité inquiète les autorités locales”.
S'il nous arrive, plus souvent que rarement, de critiquer Serge LETCHIMY, président de la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique), force est de reconnaître que sur la question de l'élection du président du Grand Port Maritime de Fort-de-France, il a raison.
Foto-a ki ka ilistré artik-tala sé ta sé manblo-a (policier) ki té lé rété an jenn ti Arab ka mennen an loto adan lavil Nantè. Asiparé, ti boug-la rifizé koupé motè loto-a ek i kontinié woulé woulé'y.